Rude hiver en catalogne

Tin tin tin!

Paris 17h00, Plaça del Pi

Le chocolat catalan se déguste désormais à Beaubourg. Les Parisiens vont-ils adopter la pause chocolat de 17h00? Maité et moi allons donner l'exemple!

Amis de Barcelone, plus rien ne vous retient donc dans la ville de Gaudí! Rejoignez nous vite!

Noël à la fenêtre du 211 rue Saint Maur

Vous aimez les grands espaces?

Alors préférez Barcelone à Paris!

La différence est de taille!

Pop Mozaïk

Saveurs d'Automne à Freiburg

Le charme d'ABBA

Connaissez-vous la Grolle?

Le clan des catalans

Visite au Quai Branly

l'Effet Papillon

oeuvre cinématique

Exposition : le mouvement des images - Centre Georges Pompidou

Playlist d'une exposition III

Pourquoi se limiter à la peinture? La BD a désormais sa place dans les salles d'expo à l'instar du génial MOEBIUS, géniteur de l'Incal.

J'aime beaucoup son univers graphique et le jeu des formes que Moebius met en scène et en couleur.

Quelle musique apprécier dans son casque pendant qu'on savoure un des volumes de l'Incal un dimanche de pluie avec un bon thé? (ou une bonne bière)

Du bulle en bulle on peut zapper de Pink Floyd, à Archives, en passant par un bon vieux Iron Maiden lors des scènes de poursuite et de combat.

Sous les pavés, la plage...

Une pensée à la mer en ce jour de retour à Paris Plage...

Playlist d'une Exposition II

Cette peinture de Francis Bacon qui peut en choquer plus d'un, laisser dubitatif ou plein d'admiration les autres, est pour moi le parallèle idéal avec la musique "hard", pesante, sombre et essentiellement violente comme je l'affectionne. Violence dans l'expression / l'interprétation / la forme et dans les sentiments / le fond / les symboles.

La double grosse caisse tonitruante de Dave Lumbardo (Slayer, Fantômas) ou de Hellhammer (Mayhem, Arcturus, Winds) répondrait aux coups de pinceaux nerveux portés sur la toile. Tandis que les voix guturales et agressives propres au musiques extrêmes rappellent des atmosphères aigoissantes donnés par les couleurs et les formes peintes par Bacon. Sans parler des correspondances possibles entre les thèmes abordés sur cette toile et certains textes tirés d'album de Death Metal, Grindcore ou autre sous-genre tout aussi charmant.

Mais la violence en musique est de mauvais goût, même si comme en peinture elle a pour intérêt de déranger, d'interpeller et de frapper le spectateur. Quelle reste dans les salles de concert obscures et dans les écouteurs des amateurs. Le statut d'art attendra.

DISCOGRAPHIE: